Select Page

ACTUALITÉS DE TRIMAX.

Découvrez les dernières actualités et les derniers lancements de produits ici, sur notre page de blog, ou suivez-nous sur les réseaux sociaux via les liens ci-dessous.

Le fondateur de Trimax, Bob Sievwright, nous parle de tout le chemin que la société a parcouru depuis ses débuts dans les années 1980, au moment de ses tondeuses à fléaux pour des opérations de tonte sous des vergers de kiwis dans la baie de Plenty. Disposant aujourd’hui de bureaux au Royaume-Uni, aux États-Unis, en Australie et en Nouvelle-Zélande, ainsi que de distributeurs dans toute l’Europe, Trimax s’est forgée une réputation parmi les professionnels de l’entretien des pelouses en termes de coupe de qualité et de longévité des machines.

 

L’homme qui murmurait à l’oreille des tracteurs

« Je suis fils de fermier », raconte Sievwright. « J’ai grandi dans un petit élevage de bétail et de moutons de l’arrière-pays où la principale difficulté consistait à trouver un moyen de convertir des terrains broussailleux en un pâturage décent pour les animaux. Mes frères et sœurs, mon frère jumeau et moi, nous travaillions pendant tout notre temps libre après l’école, les week-ends et les jours fériés. La plupart du temps, les tractions sur des pentes abruptes étaient réalisées grâce à des chevaux, mais il s’est avéré que je n’étais pas fait pour monter à cheval, je n’arrêtais pas de tomber. Donc dès que j’ai eu douze ans, je me suis tourné vers le tracteur et les machines agricoles. Les chevaux savaient qu’ils étaient plus intelligents que moi, mais le tracteur faisait toujours ce que je voulais ! »

 

Toujours chercher une meilleure solution

Cette solide éthique de travail et une affinité avec les machines étaient deux choses qui allaient jouer un rôle essentiel dans la carrière de Sievwright, tout comme le décès soudain de son père alors qu’il était en terminale. « À ce stade, je me suis rendu compte qu’il ne tenait qu’à moi de m’y mettre et de voir ce que je pouvais faire. J’ai décroché une bourse pour des études à l’étranger pour devenir élève ingénieur auprès de General Motors Nouvelle-Zélande, puis plus tard chez Flint MI où j’ai obtenu mon diplôme d’ingénieur et où j’ai tout appris sur la construction automobile. Je suis revenu en 1974 et j’ai eu la chance de pouvoir créer ma propre société. » Pas Trimax. Il fallut attendre huit années de plus pour que Sievwright entre dans le monde des machines destinées à la tonte des pelouses. Mais avant cela, il affûta ses compétences dans le domaine commercial, ainsi qu’en marketing et en exportation en fabricant des crochets à viande pour les abattoirs locaux à partir d’acier à ressort trempé et durci.

Lors d’un voyage d’affaires en 1981, le jeune Sievwright de 31 ans remarqua une tondeuse à fléaux avec une lame composée de deux pièces d’acier soudées ensemble. « Je me suis assis et j’ai dessiné le croquis d’une lame que je savais que nous pouvions fabriquer à partir d’une seule pièce d’acier, et j’ai envoyé ce croquis au fabricant. Il l’a aimé et nous avons reçu une commande de mille lames : ma première commande de fléaux Gamma ! » Ce fabricant de tondeuses spécifique fit faillite quelques semaines plus tard, et le contrat pour des lames de Sievwright fut annulé, mais celui-ci ne se laissa pas décourager pour autant. Il décida de plier bagages et de faire déménager sa société et sa jeune famille à Tauranga, en Nouvelle Zélande, pour fabriquer les tondeuses et les lames lui-même. Il embaucha un ingénieur spécialisé en tondeuses (Norm Miller, qui travaille toujours aujourd’hui au siège social de la société) et se lança dans la production. Pour Bob, l’époque des crochets à viande était révolue, et Trimax Mowing Systems était née.

 

Inspirer la productivité

Les premiers modèles de Trimax sur le marché, la Ezeemow, la Mowcraft et la Mulchmasta, étaient destinés à l’origine à l’industrie florissante de la culture du kiwi. Mais la demande provenant des jardiniers de parcs et des paysagistes de réserves qui avaient entendu parler de la réputation de nos tondeuses en matière de résistance, de qualité de coupe et de faible maintenance augmenta rapidement. En 1985, Trimax diversifia sa production en se tournant également vers les tondeuses rotatives et fit l’acquisition d’une société de fabrication de tondeuses dont le propriétaire était Jim McEwen. Sievwright dit : « Jim avait des compétences en termes de conception que je ne peux décrire que comme une forme d’art. Toutes ses tondeuses étaient magnifiques et tondaient bien, je l’ai donc invité à nous rejoindre. On travaillait bien en tant qu’équipe, et ensemble nous nous sommes facilement taillés la part du lion du marché des municipalités de Nouvelle-Zélande. »

Jim McEwen créa le premier service Recherche et Développement de Trimax. Il explique le succès de la société : « Nous avons toujours refusé le statu quo et offert une toute nouvelle approche à la fois pour la conception et le design des tondeuses. Nous produisons des machines qui sont attrayantes visuellement, qui dépassent les attentes des clients en termes de performances et qui ont une grande longévité. »

 

Nous voyons des possibilités

En 1985, Trimax commença à exporter vers l’Australie ses tondeuses avant-gardistes, la ProCut et la Stealth. Tout cela faisait partie intégrante de la vision de Sievwright : « J’étais déterminé à nous voir exporter car j’ai passé près de la moitié de ma vie en dehors de la Nouvelle-Zélande. Dans le cadre du paramètre de conception se trouvait l’idée que nos tondeuses devaient pouvoir se vendre à l’international et être des produits de qualité commerciale offrant une valeur ajoutée et des résultats à long terme. Trimax a réussi là où d’autres ont échoué en proposant des produits et un service de qualité supérieure et en prêtant toujours une oreille attentive au client final. Jim et moi, nous nous sommes rendus à l’étranger à de nombreuses reprises pour essayer de comprendre les besoins des utilisateurs sur chaque marché. » Après que la tondeuse Stealth S1 ait défini un nouveau standard en termes de tonte en Australie, c’est sans surprise que Trimax a commencé à exporter vers le Royaume-Uni. Les Britanniques adoraient eux aussi cette tondeuse, et à la fin des années 1990, Trimax ouvrit son premier bureau et son premier entrepôt britanniques au Northamptonshire. Aujourd’hui, les tondeuses Trimax sont utilisées dans de nombreux endroits prestigieux, dont le château de Windsor et les dix terrains de polo parfaits du Guards Polo Club couvrant près de 53 hectares.

Mais non content de tondre les pelouses de la reine d’Angleterre, Sievwright prévoyait ensuite de jeter son dévolu sur les États-Unis. Trimax vendit sa première tondeuse à rouleau rotative là-bas en 2001 et ouvrit un entrepôt de distribution en Géorgie en 2005. Gardant à l’esprit la grande échelle du marché américain, l’équipe Recherche et Développement lança la X-WAM en 2009, un monstre de 10 mètres de large sans aucun égal sur le marché. L’ampleur, la fiabilité et la coupe parfaite de la W-WAM répondent aux besoins et stimulent les profits des gazonnières gigantesques du pays. Il suffit de chercher la X-WAM de Trimax sur Google pour s’émerveiller devant sa taille.

 

Une approche axée sur le marketing

Trimax a embauché son premier responsable marketing en 2001. Avant cela, l’entreprise doit ses deux décennies de croissance à ses excellents commerciaux. « Grâce à des séances de démonstration de nos produits, nous avons grandement augmenté le nombre de nos clients au cours des années 1980 et 1990 », rappelle Sievwright. « Quand j’ai commencé, il y avait sept autres fabricants de tondeuses en Nouvelle-Zélande. Nous devions nous démarquer et prouver que nous étions meilleurs. Quand vous savez que vous pouvez surpasser vos concurrents, vous n’avez aucune hésitation à vous lancer dans des batailles acharnées. Nous les avons toutes remportées. » Sievwright est fier de la capacité de ses produits à apporter des résultats, mais il reconnaît que le contexte commercial actuel exige une approche plus axée sur le marketing : « Nous faisons toujours autant de séances de démonstration que possible, mais nous le faisons en partageant l’histoire de Trimax. »

 

Innover avec détermination

« Notre approche vis-à-vis de l’innovation a toujours été focalisée sur nos clients. Nous les écoutons parler de la manière dont ils utilisent leurs produits et nous concevons des innovations concrètes afin d’aider les clients à profiter de tout le potentiel de nos machines. » Ce fut cette approche qui mena au développement d’une des tondeuses les plus emblématiques de la société : la Snake ! Une tondeuse entièrement dédiée aux pelouses de terrains de sport tirant parti de 30 années d’innovation et de peaufinage de méthodes d’ingénierie concentrées pour former un produit incroyable. Sortie en 2014, « la Snake a permis de surmonter de nombreux défis et a transformé la vie d’un grand nombre de jardiniers aux quatre coins du globe ».

« Je me rappelle que quand j’étais enfant, l’équipement de notre ferme nécessitait beaucoup d’opérations d’entretien fastidieuses, et je me souviens à quel point les pannes pouvaient être frustrantes et coûteuses. » Doté d’une capacité à échanger et à sympathiser avec les clients associée à un désir de relever de nombreux défis, Sievwright déclare : « l’objectif ultime serait de fabriquer une tondeuse sans aucun entretien ». Tout en gardant cela à l’esprit, Trimax a ensuite développé toute une série d’innovations telles que les axes de lames sans entretien SteadFAST, les tendeurs automatiques des courroies, ainsi que le système de retenue de rouleaux sans raccord LocTEK, tout cela dans le but de se rapprocher petit à petit la société de son objectif ultime.

 

Stimuler les performances

Les ventes continuant à exploser, Trimax étendit ses activités britanniques en achetant en 2015 un site de 1.512m² au Northamptonshire et un autre de 2.322m² en Géorgie, aux États-Unis. Comptant désormais des bureaux dans le monde entier, un nombre d’employés atteignant les 100, ainsi qu’une communauté d’utilisateurs Trimax toujours plus grande, le rêve de Sievwright était en train de devenir réalité !

Bien que Trimax ne fasse qu’effleurer la surface de ce que l’immense Amérique du Nord a à offrir, Sievwright s’est positionné sur le marché et s’est donné pour mission de mieux comprendre les besoins de ce dernier. « Chaque marché sur lequel nous intervenons est réellement unique, tout comme les besoins de chaque individu. Il est important pour nous d’en avoir conscience afin de pouvoir veiller à ce que nos tondeuses répondent à ces mêmes besoins sans le moindre compromis lors de leur processus de création. » Il va s’en dire qu’il ne fallut pas longtemps à Sievwright pour entrevoir une opportunité de développer un nouveau concept de tondeuse à roues pivotantes !

Sans aucune peur quant à l’idée de suivre ce que demande le marché, Trimax et toute son équipe ont commencé à développer leur toute première tondeuse à roues pivotantes baptisée par la suite la Vulcan ! Seulement lancée sur le marché américain en 2019, cette tondeuse de 7m de large ne manquera pas d’impressionner !

 

Partenariats personnels

Bien qu’il ait cédé la place et qu’il ait passé la main à la génération suivante (son fils Michael), Sievwright reste un commercial très actif (comme il se décrit lui-même) au sein de l’entreprise. « Je suis tellement fier quand je vois à quel point toute l’équipe Trimax continue de se battre pour le client. C’est ce qui a amené Trimax aussi loin, et c’est ce qui nous assurera un long futur rempli d’innovations »

Ce qui a débuté sous la forme d’une entreprise familiale dont les innovations se basent sur la culture et sont dictées par les besoins de la communauté, continue de préserver ces mêmes qualités. Une culture basée sur des partenariats qui refuse le statu quo, inspire la productivité et établit de nouvelles références en termes de résultats.

Trimax est la preuve de ce qui peut être réalisé avec une bonne combinaison de culture, de partenariats et d’innovations ! Ce n’est qu’une question de temps avant de voir les prochaines innovations de Trimax arriver sur le marché !